Un traitement optimisé
Une visite de moins à l’urgence
Tout est sous contrôle
Des patients en sécurité
Une vie simplifiée
Un traitement optimisé
Le rôle des pharmaciens du Québec connaît une importante évolution. Leur pratique comporte désormais beaucoup plus de services cliniques et la déprescription est un excellent exemple de la forme que peut prendre ce nouveau rôle.
Grâce à leur lien de proximité avec leurs patients et par leur statut d’expert des médicaments, les pharmaciens peuvent évaluer l’efficacité des traitements médicamenteux de leurs patients sur une base régulière. Ils peuvent ainsi ajuster la dose de certains médicaments, contrôler les effets secondaires indésirables et, dans certains cas déprescrire, c’est-à-dire mettre fin à la prescription de médicaments devenus inutiles, qui pourraient causer plus de tort que de bien.
La déprescription contribue à optimiser le traitement des patients et à améliorer leur état de santé, tout en réduisant les coûts de notre système de santé.
Environ 25 % des aînés âgés de plus de 65 ans prennent au moins 10 médicaments.
Au Canada, le coût lié à l’utilisation de médicaments inappropriés est estimé à 419 millions de dollars par année.